Santé naturelle, bien-être et vitalité
Santé naturelle, médecine douce, naturopathie, réflexologie, bien être
Médecines douces basées sur des méthodes naturelles pour guérir sans médicaments
Issues souvent de traditions anciennes, ces différentes médecines sont de plus en plus populaires
Caux76 vous présente une étude non exhaustive de différentes médecines douces. Depuis maintenant quelques années, une nouvelle science de bien-être s’est imposée. Brevetée par une armée d’étude clinique, la médecine douce ou médecine alternative se voit comme un autre moyen de soigner les maladies sans recourir à l’utilisation des médicaments. Le plus important c’est qu’elle s’associe parfaitement aux traitements traditionnels.
La médecine douce est une catégorie de la médecine qui comprend une variété d’approches thérapeutiques qui ne relèvent pas du domaine de la médecine conventionnelle. Des recherches sont en cours pour estimer l’efficacité de ce type de médecine alternative.
ostéopathie
L'ostéopathie est une méthode de soins utilisée pour le traitement et la prévention de nombreux troubles fonctionnels. Reconnue comme une médecine complémentaire, elle a recours aux manipulations manuelles pour traiter certaines pathologies. Pour les ostéopathes la structure du corps et ses fonctions sont interdépendantes. Toutes les parties du corps sont reliées les unes aux autres via les tissus. Dans ce cadre, si un organe perd sa mobilité, alors cela peut avoir des conséquences sur les autres, et les symptômes apparaissent. C'est donc grâce à des manipulations de certaines parties du corps que les praticiens entendent rétablir le bon équilibre du corps.
L'ostéopathie est une médecine non conventionnelle qui repose sur l'idée que des manipulations manuelles du système musculo-squelettique et des techniques de relâchement myofascial permettent d'apporter un soulagement dans le domaine du trouble fonctionnel. l'ostéopathie est fondée sur des techniques manuelles visant à la conservation ou la restauration de la mobilité physiologique des différentes structures de l'organisme. Elle se base sur l'idée selon laquelle toute altération de la mobilité naturelle des organes les uns par rapport aux autres, apparaissant au niveau des muscles, des tendons, des viscères, du crâne ou des enveloppes (fasciae), induirait des dysfonctionnements. L'ostéopathie est donc centrée sur les troubles fonctionnels, éventuellement psychosomatiques, ne relevant pas de la pathologie ou de la rééducation en kinésithérapie.
L'ostéopathe dispose de différentes approches thérapeutiques qu'il considère adaptées aux besoins spécifiques du patient, à ses propres affinités et à ses propres connaissances. On distingue parmi celles-ci les techniques de mobilisation articulaire passive lente, (traitement général ostéopathique, techniques fonctionnelles directes ou indirectes, etc), les techniques de mobilisation articulaires actives (techniques de Mitchell, etc), les techniques de mobilisation articulaire mixtes (techniques de Sutherland, etc), les techniques réflexes (traitements réflexes du tissu conjonctif, points de Knapp, points de Head, points triggers, traitements neuro-musculaires, etc), des techniques de mobilisation des structures molles et péri-osseuses (crânien, viscéral, fascial, etc), des techniques liquidiennes.
La palpation recherche les dysfonctions somatiques au sein de tous les tissus du corps. En dehors de l'interrogatoire, la main représente l'outil essentiel tant du diagnostic que du traitement. Ici aussi, les concepts s'opposent. Pour certains ostéopathes, la main n'est rien ; c'est le système nerveux central du thérapeute qui est l'outil de traitement[réf. nécessaire].
L'ostéopathie s'adresse au corps entier. L'action sur ces différents systèmes passerait par un lien physiologique majeur : le système nerveux. En effet, toutes les techniques auraient comme point commun d'émettre des informations aux éléments afférents du système nerveux périphérique et du système nerveux végétatif (sympathique et parasympathique). Ceci expliquerait pourquoi l'action de l'ostéopathie sur le corps n'est pas locale, mais toucherait l'ensemble de l'organisme
Bien que non spécifiques et non démontrées, les techniques ostéopathiques auraient une action bénéfique sur les symptômes d'affections touchant le système locomoteur et le système viscéral.
L’ostéopathie est une méthode de soins qui s’emploie à déterminer et à traiter les restrictions de mobilité qui peuvent affecter l’ensemble des structures composant le corps humain.
Toute perte de mobilité des articulations, des muscles, des ligaments ou des viscères peut provoquer un déséquilibre de l’état de santé. L’ostéopathie est fondée sur la capacité du corps à s’autoéquilibrer et sur une connaissance approfondie de l’anatomie.
L’ostéopathie repose sur trois concepts originaux, la main  (outil d'analyse et de soin), la prise en compte de la globalité de l'individu, le principe d'équilibre tissulaire.
Elle nécessite des compétences spécifiques, une connaissance approfondie du fonctionnement du corps humain et des interactions entre chacun de ses systèmes.
Elle prévient et soigne de nombreux troubles physiques et agit également aux plans nerveux, fonctionnel et psychologique. Elle aide chacun à gérer, de manière responsable et autonome, son “capital vie” pour un mieux-être au quotidien.
Grâce à des tests palpatoires spécifiques, l’ostéopathe explore le corps à la recherche des zones qui présentent des restrictions demouvement susceptibles d’altérer l’état de santé. Les mains de l’ostéopathe vont chercher, trouver et réharmoniser l’ensemble des structures perturbées dans leur mobilité.

L’ostéopathie intéresse tous les grands systèmes du corps, le système orthopédique et locomoteur (entorses, tendinites, lombalgies, dorsalgies, costalgies, cervicalgies, périarthrites de l’épaule, douleurs articulaires, scolioses,pubalgies, douleurs coccygiennes, douleurs maxillaires), le système neurologique (névralgies cervico-brachiales, intercostales, faciales, d’Arnold, cruralgies, sciatiques…), le système cardio-vasculaire (troubles circulatoires des membres inférieurs, congestion veineuse, hémorroïdes, palpitations, oppressions…), le système digestif (ballonnements, hernie hiatale, flatulences, troubles hépatobiliaires, colites, constipation, ptôse d’organes, digestion difficile, gastrites,acidité gastrique…), le système O.R.L. et pulmonaire (rhinites, sinusites, vertiges, bourdonnements, céphalées, migraines, bronchites, asthme, bronchiolites…), le système neuro-végétatif (états dépressifs, d’hypernervosité, anxiété, stress, troubles du sommeil, spasmophilie…), les séquelles de traumatismes (fractures, entorses, chutes, accidents de voiture).
Sous le nom de médecine douce se cachent diverses méthodes thérapeutiques : acupuncture, naturopathie, ostéopathie, hypnose, réflexologie, phytothérapie... Ce sont souvent de bonnes alternatives aux traitements médicamenteux, notamment contre la douleur.  Faites le point sur la médecine douce et son efficacité.
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